entrée et découverte de Narnia pour José Aslan

José Aslan se retourna derrière lui la porte avait disparu, à la place, s'y trouvait une pelouse bien verte beaucoup plus verte que celle qu'il avait quitté elle lui semblait. Non, elle ne lui semblait pas, il était certain que cette herbe était sauvage que cette forêt n'était pas celle où il allait souvent s'amuser qui était à 3km de sa maison. Il ne pouvait pas expliquer comment à cette instant, mais il sentait qu'il était autre part, non pas qu'il avait transplané de sa maison dans la forêt amazonienne, mais bien que cette l'avait porté comme un transporteur en dehors de son monde, il ne put jamais comprendre comment bien qu'il soit un très bon mathématicien et qu'il y resta ( ce qui lui sembla ) une éternité à essayer de le comprendre.

Finalement José Aslan se laissa guidé par sa curiosité et alla visité les bois. Il eu la désagréable impression d'être observé non pas par des indigènes ou des animaux sauvages. Mais bien par les arbres, il était pratiquement sûr qu'il devait y avoir des animaux dans cette forêt, mais il ne pouvait pas s'expliquer pourquoi il pensait qu'il était observé par des arbres et non par des animaux. Tout en continuant de se promener, il réfléchi à cette énigme dont il n'arrivait décidément pas à y trouver une réponse si bien, qu'il ne s'aperçut pas qu'il ne faisait plus attention où il allait et se cogna violemment contre quelque chose de très dur. Il pensa au départ tout naturellement à un arbre, il leva donc les yeux pour voir si l'arbre qu'il avait percuté était un tilleul, un chêne... Il fut très surpris de tomber nez à nez avec un réverbère.

José Aslan se retourna, derrière lui la porte avait disparu, à la place s'y trouvait une pelouse bien verte, beaucoup plus verte que celle qu'il avait quitté. Elle lui semblait. Non, elle ne lui semblait pas, il était certain que cette herbe était sauvage que cette forêt n'était pas celle où il allait souvent s'amuser qui était à 3km de sa maison. Il ne pouvait pas expliquer comment à cette instant, mais il sentait qu'il était autre part, non pas qu'il avait transplané de sa maison dans la forêt amazonienne, mais bien que cette l'avait porté comme un transporteur en dehors de son monde, il ne put jamais comprendre comment bien qu'il soit un très bon mathématicien et qu'il y resta ( ce qui lui sembla ) une éternité à essayer de le comprendre.

Finalement José Aslan se laissa guider par sa curiosité et alla visiter les bois. Il eu la désagréable impression d'être observé non pas par des indigènes ou des animaux sauvages. Mais bien par les arbres, il était pratiquement sûr qu'il devait y avoir des animaux dans cette forêt, mais il ne pouvait pas s'expliquer pourquoi il pensait qu'il était observé par des arbres et non par des animaux. Tout en continuant de se promener, il réfléchi à cette énigme dont il n'arrivait décidément pas à y trouver une réponse si bien, qu'il ne s'aperçut pas qu'il ne faisait plus attention où il allait et se cogna violemment contre quelque chose de très dur. Il pensa au départ tout naturellement à un arbre, il leva donc les yeux pour voir si l'arbre qu'il avait percuté était un tilleul, un chêne... Il fut très surpris de tomber nez à nez avec un réverbère.

Sur le coup il ce demanda '' mais qu'est-ce que fait un réverbère au beau milieu d'une forêt''. Il essaya d'y trouver une réponse scientifique mais s'aperçut très vite que cela le conduisait à rien, donc il abandonna l'esprit mathématicien qu'il possède pour l'esprit du petit garçon qui croit à l'irréel. Il ne réfléchit pas à son grand étonnement, mais bien au contraire, il se rappela d'avoir lu un livre dans lequel il y avait un réverbère. Mais, il ne se souvenait plus du titre de ce livre puisque ses parents avaient bien pris le soin de lui confisquer et surtout très bien cacher ses livres fantastiques quand il avait 14 ans.

Il observa avec plus d'attention ce réverbère que les arbres qui l'entourait, il ne put l'expliquer pourquoi, mais il lui semblait l'avoir déjà vu. D'un coup, tout lui revint en tête, il se souvînt qu'il avait lu les livres de Narnia et que dans Narnia il y avait un réverbère. Bien qu'il en était presque sûr, il ne voulait pas y croire tant cela semblait impossible. En effet, ses parents lui avaient bien fait comprendre que les mondes tels que Narnia n'existais pas. Et pourtant, il se trouvait bien à Narnia.

José Aslan ne pouvait plus bouger d'un pouce, ces jambes refusaient d'avancer plus loin. Il sortit donc son violon et commença à jouer quelques petits accords pour s'échauffer. Il allait commencer à jouer son morceau préféré quand il entendit un bruit.

José Aslan, se figea non par peur, mais par prudence Est-ce que c'était un animal ? Est-ce que c'était un ennemi ? Il ne put le dire, mais regarda les alentours pour essayer de trouver la personne ou la chose qui était à l'origine de ce bruit

Shruikan respira l'odeur boisée de la forêt. Il aimait se promener entre les arbres, et leurs regards sur lui ne le gênait pas le moins du monde. Il avait voyagé si souvent dans des forêts qu'il avait fini par s'y habituer, et même à se lier d'amitié avec les étranges habitants des feuillus. Aujourd'hui, il avait de nouveau quitté Phalène, mais non pas pour se divertir, mais pour chasser. Le troupeau de cerfs qu'il avait attaqué lors de son arrivée dans les bois de l'Ouest avait disparu.

Shruikan tenait sa queue au-dessus du sol pour marcher le plus discrètement possible. Ses ailes étaient soigneusement plaquées contre son corps, et il serpentait agilement entre les trons malgré son corps plutôt imposant. Pour l'instant, il n'avait senti l'esprit que de quelques oiseaux et rongeurs, et cela ne lui suffirait pas pour le rassasier. En fait, ce qui était le plus compliqué dans la chasse, c'était de deviner si l'animal qu'on attaquait parlait ou non. Le plus souvent, Shruikan effleurait leurs esprits, mais ça ne marchait pas toujours.

Le grand dragon noir se figea. Il sentait une présence humaine non loin de là. L'humain n'avait pas l'air dangereux, mais comme Phalène lui avait si souvent répété, il fallait mieux être prudent. Shruikan décida d'aller vérifier si ce n'était pas un des sbires de la sorcière blanche déguisé en humain. Il finit par apercevoir l'humain, un étrange insrtument à la main. Il n'avait pas l'air rassuré, mais ne semblait pas effrayé non plus. "Il a du m'entendre arriver".

Shruikan sortit des fourrés et se présente à l'humain, l'inspectant du regard. Non, ce n'était pas un sbire de Jadis, c'était évident.

"Bonjour à toi, je suis Shruikan, dragon de Phalène. Ne t'inquiètes pas, je suis peut-être en chasse, mais je ne te ferai aucun mal. A qui ai-je l'honneur ?"

Il faisait chaud ce jour-là, et quand Leslie Adams ouvrit les yeux, elle fût toute surprise d'être toute mouillée et allongée par terre, dans l'herbe. La dernière chose dont elle se souvenait, c'était d'être tombée dans la rivière et puis... plus rien. Elle se relava doucement, en inspectant les environ. "Est-ce que je suis de l'autre côté de la rive ?" se dit-elle. Non, elle ne connaissait pas cet endroit. Il y avait trop d'arbre, et cette odeur si particulière... ce n'était pas l'odeur du village.
Elle se releva doucement et inspecta les lieux. Elle ne voyait rien de bien intéréssant, à part les arbres et de l'herbe bien verte à perte de vue. Aucune trace de la rivière. "Mince, le courant m'a emporté très loin... " se dit-elle.
Puis, il lui sembla entendre du bruit, comme si un énorme oiseau était passé tout près d'elle. Elle sursautat et, prise de curiosité, elle avança à travers les arbres, vers ce qu'elle croyait être une petite clairière.
Restant cacher derrière un arbre, elle aperçut un jeune homme. Il semblait assez désorienté, mais pas dangereux. Elle s'apprêtait à sortir de sa cachette quand le bruit étrange se refit entendre. Soudain, apparût un énorme dragon noir qui vint se poser devant le jeune homme.
Leslie était figée par la peur. Doucement, elle s'écarta de derrière le tronc pour mieux voir le dragon (elle n'en croyait pas ses yeux! C'était impossible ! Les dragons n'existent pas !) quand soudain... le dragon se mit à parler !!
Alors, Leslie hurla de terreur.

[Hors Sujet : je n'ai pas pu répondre avant parce que j'étais en vacances avec la famille, désolé...]

Shruikan entendit un hurlement. Il se retourna vivement, toutes griffes dehors en montrant les crocs avec un long grondement. Sa queue fouetta l'air et frôla... une jeune femme à l'air terrifié. Oups. Shruikan s'empressa de retrouver une attitude présentable et observa la jeune femme. Elle était trempée, et portait de drôles de vêtements. Elle devait sûrement venir d'un autre monde, et devait croire qu'elle y était encore.

"Oh, pardonne-moi. Parfois, je réagis un peu trop vite."

Shruikan baissa la tête à hauteur de la jeune femme, oubliant complètement le jeune homme qui n'avait pas bougé, sûrement choqué lui aussi, et laissa de côté son envie de déguster un peu de viande fraîche.

"Je m'appelle Shruikan. Et toi ? Tu dois venir d'un autre monde, vu tes habits. Ici, tu es à Narnia."

[Je ne m'incruste pas dans un PV entre José et toi quand même ? ^^]