Le jours se levait sur Narnia, mais ce n'était pas un jours comme les autre pour Allan. Non, ce jour était particulier, car c'était le jour J pour le jeune chevalier. En effet, quelque jours plus tot, le jeune forgeron avait fait parvenir une lettre au roi Edmund.
Je ne vais pas vous détailler, ici et maintenant ce que la lettre contenait, car cela serait totalement inutile. Cependant je peux vous assurer que nombre d'habitant du royaume de Narnia s'afféré au préparatif du combat. La réponse du roi avait été rapide et bien sur ce dernier avait donné son accord. Comme il s'agisait d'un combat amicale et loyal, le frère du roi suprême invita alors le jeune homme à le rejoindre au chateau. Enfin je dit jeune homme, pas tellement que ça. Allan semblait n'avoir que 20ans, mais en réalité, le forgerons avait plus de 40ans, mais ne vous méprenez pas. Ce sang mêlé, comme certain l'appelé, possédez vraiment le corps d'un homme de vingt ans. Ce qui veux dire qu'il était dans la fleur de l'age, avec en plus l'expérience d'un combatant. Il avait défié de nombreux chevaliers dans des combats singuliers, mais jusqu'à présent peu était ceux à l'avoir vaincu. Allan, avait entendu dire par de nombreux soldat, que le roi suprême Peter, ainsi que son jeune frêre était tout deux de fines lames. En écrivant ça lettre, Allan avait d'abord pensé proposer cela au roi suprême, mais c'était raviser pensant que le roi Peter ne pourrais jamais se libérer et avait donc espéré que le roi Edmund puisse quant à lui se libérer. Ce fut le cas.
Allan était assis sur le sol rugeux de sa petit chaumière se trouvant derrière sa forge. Sa large épée qu'il avait lui même forger, sur les genoux, ce matin le guerrier polisait son arme. En effet, il devait entrenir régulièrement son arme, car bien plus grosse et plus grande, que les plus grande épée à deux mains humaine, celle-ci méritait bien plus d'attention. De plus, si jamais il devait y avoir de nouveau combat, il se devait d'être prés. Lorsque l'entretien fut fini, l'ange se leva, puis attacha son épée dans son dos. Il ne s'avait pas lui même comment le mécanisme fonctionnait, il s'agissait d'un invension d'un de ces amis nain, qui permettait à l'arme de rester en. Place dans son dos. Il appelait cela, un aimant. Puis partie vers le chateau.
Ce fut par un jour de soleil radieux qu'Allan sorti, le soleil bien haut dans le ciel, semblait bénir cette journé par sa présence. Le ciel, quand à lui, était aussi bleu que la plus belle mer qui pouvait recouvrir le monde. Les oiseaux, aussi bien ceux parlant, que les oiseaux normaux, volaient haut dans ce ciel dégageait. Une légère brise douce souflait accompagnant chaque pas du combatant vers le chateau. Si vous n'avait jamais eut l'occasion de visiter Cair Paravel, je vous le conseil, car nul doute qu'aucune citadelle ne vous éblouira plus par sa beauté et sa majesté qu'elle. Allan Sidius, avait beau voir régulièrement se spectacle, il en resté toujours bouche bée. Arriver devant les portes, les deux sentinelles lui ouvrir sans un mot, il savait qui il était et la rumeu du combat avait depuis longtemps atteint leur oreille. Allan marcha alors jusqu'à la salle ou l'attendais le roi Edmund, il avait bien sur était amené par un serviteur qui l'avait attendu patiement. Le forgerons pénétra la salle, puis d'un pas lent, se dirigea vers le trone.
La salle était merveilleuse, à l'image du palais et des gens qui y vivait. Simple, mais pourtant fascinant. Le buffet était garni de met semblant tous plus appétisant les un que les autres. S'arrêtant à quelque pas des marches, car le roi Edmund siégeait sur son trône en armure, Allan s'inclina, puis dit d'une voix calme:
"Mes salutations, votre altesse..."
Allan préféra ne rien ajouté, il ne savait si dans pareille situation, il devait attendre que le roi réponde ou lui donne la parole. Préférant ne pas offenser ce bon seigneur, Allan pensan qu'il était plus sage de tenir sa langue que de la laisser débiter des paroles qui pourrait etre interprété comme un manque de courtoisie.
[Hrp: navré je corrigerai le texte demain, mais là je suis trop fatigué.]