Votre majesté... (PV Susan)

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Phalène - PV Susan Pevensie --

Cair Paravel. Il n'y avait certainement pas plus beau lieu sur terre. Sa forêt, sa plage, sa mer, son château. Tout était parfait! Phalène se sentait toujours profondément heureux en venant ici. Surtout depuis que la Sorcière Blanche et ses sbires n'y étaient plus. Tout semblait si brillant. On aurait dit la demeure secondaire du Soleil, où il venait lorsqu'ils était étourdi de voir tant de chose autour de lui.

Sortant des bois, Phalène arriva sur la plage, devant la mer. L'eau était calme, brillante, comme tout ici. Tout était silencieux. On entendait au loin des bruits d'oiseau, le vent, des sirènes et des tritons chantant, ainsi que des enfants jouer loin d'ici. Le jeune sorcier de guerre retira ses chaussure pour marcher pied nu dans se sable. Il n'y avait pas sable plus fin dans tout les monde, disait-on, et c'était surement vrai. Il était chaud, mais pas brûlant. L'odeur de l'air marin, la chaleur du Soleil tombant sur lui et la vue de cet infini bleu, lui donnait un sentiment de liberté.

Phalène se rendit à L,eau, où il continua à marcher dans les vagues de la marée montante. Des alevins lui chatouillaient les pieds. Phalène avait un peu de sable sur ses habits, transporté par le vent, et les vague lui avait mouillé le bas du pantalon. mais il n'y avait personne. Et puis, qui ça importerait? Il se concentrait plutôt sur le bruit des vagues, les feuilels des arbres au loin, les herbes dans le sable, les galet de couleur variée, la faune aquatique, tout ce qu'il pouvait trouver. Il remerciait Aslan d'avoir créé de si belle chose.

Il regarda à l'arrière, où ses traces de pas étaient balayées par le vent et les vagues. Puis, il fut déconcentré par un grand bruit. Ça, c'était TRÈS impressionnant. Un énorme rorqual à bosse avait sauté, entre les roches taillées par l'eau, au loin. Le bruit des éclaboussures se rendait jusqu'à Phalène. Le jeune homme s'éloigna un peu de l'eau et s'assit sur un tronc d'arbre complètement blanc, après avoir été métamorphosé par l'océan. Le sable se collait à ses pieds mouillés, ce qui était plutôt désagréable, mais ça fait partit des charmes de la mer. C'est la même chose que les cheveux décoiffés et mouillés par les éclaboussures et le vent, ainsi que les vêtement plein de sable.

Il regarda la mer, où sa baleine à bosse, suivit de ses congénères, passaient dans la bai, traversant une péninsule de falaise et de pot de fleur, ces roches taillées par le courant. Il remarqua que quelqu'un d'autre regardait la mer. Mais c'était une simple mouette. Contrairement aux goéland, elle était petite, blanche et plutôt mignonne. Elle s'envola, plongea dans les vagues et revint avec une araignée de mer... qu'un goéland lui vola. Il s'en suivit une course aérienne pour obtenir un crabe qu'elles échappèrent dans l'eau après l'avoir assez torturé.

Tant de nature, tant de paix, mis Phalène en contact avec son Han, sans même qu'il l'ai invoqué. Sa magie coula dans ses veines, approfondissant sa joie en le mettant en contact avec le Créateur, donc pour ce monde, Aslan et l'Empereur. Lui seul pouvait voir l'aura de han autour de lui et la lumière que dégageait l'union de sa vie et de sa magie. Quelqu'un qui n'est pas en contact avec son han, comme tout les Narniens (Qui ne savent même pas ce que c'est!) ne verrait rien, sauf peut-être un sorte de puissance, et de luminosité en Phalène, mais rien de magique. Comme s'il était bien placé par rapport à la lumière du Soleil.

Même s'il ne l'avait pas déclenché et qu'il le gardait simplement pour la joie et la paix que lui mettait la connexion avec le Créateur, le Han fit comme toujours: il décela un peu de magie. Pas un han, mais une sorte de magie spéciale, une présence importante. Il sentait qu'il y avait quelqu'un qui avait des liens avec la puissante Magie de Narnia qui s'approchait. Personne ne méchant, au moins.

Je décidai de me rendre àla plage de Cair Paravel, j'adorait cette endroit et m'y détendre ... Je marchais tranquillement sur le sable avec du sable entre les orteils ... Après quelque minutes de marches je décidai de m'asseoir sur le sable et d'observer la vue qu'il s'offrait à moi ... Après de longues minutes d'observation de la vue de la plage j'entendis un grand bruit qui me fit sursauté ... Je me relevai et marchai jusqu'à l'origine d'où venait le bruit. Et là j'aperçu un jeune homme et le regardai. Je m'approchai de lui et lui dit :

- Bonjour, qu'est ce qui se passe ici j'ai cru entendre un grand bruit ?

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Sa majesté l'amie. --

À peine avait-il sentit une présence que Phalène vit arriver Susan Pevensie, reine de Narnia. Il se leva, rappelant la majorité de son Han en lui. Il se leva devant sa majesté. Il la dépassait en largeur et en hauteur, mais elle était beaucoup plus importante que lui. Mais jamais il ne se sentirais mal devant cette souveraine. À Narnia, contrairement à d'autres pays, on aimait les rois, et on les considérait presque comme des amis. On restait courtois et obéissants, mais pas par crainte! C'était pas amour et reconnaissance. En plus, de son coté, Phalène n'était pas un de ses sujets, même si elle ne le savait surement pas. Il n'était pas Narnien et n'avait pas prêter allégeance, sauf à Aslan.

Phalène n'avait donc aucune gène face à la Reine, ou presque. Qu'importe qu'il soit sali de sable et d'eau. De toute manière, personne ne lui avait jamais fait de commentaires sur sa tenue... Il ignorait que la plupart des gens regardaient seulement son visage. Phalène n'avait jamais remarqué sa beauté, ni même vu que les femmes l'admiraient, et même le désiraient, parfois. À part avec Kahlan, et en consolant Jennsen, il ne faisait jamais attention à la beauté, et surtout pas à la sienne.

Évidement, il trouvait des femmes très belles. Mais ce n'était pas ça qui l'intéressait chez elles. Il trouva la reine magnifique, surtout avec le paysage qui l'entourait et l'éclairage (Même si la lumière du Soleil le mettait plus à son avantage qu'elle.) La beauté de Susan n'était pas reconnue pour rien.

«Bonjour, votre majesté. Vous êtes ravissante, ce matin. Je suis ravi de vous revoir à Cair Paravel.»

Dit-il en souriant. Le château avait été habité par la Sorcière durant quelques temps. Il était ravi de voir ses propriétaires le ravoir. Le perdre était comme de perdre une grande partie de Narnia. C'était un lieu symbolique.

Puis, la reine lui parla. Un bruit? Phalène n'avait pas fait de bruit... Puis, il se rappela de la baleine à bosse. Elle avait fait un bruit terrible. Il sourit et sans rien dire, il pointa la mer du doigt, où le petit groupe de cétacés continuait à entrer et sortir des vagues.

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